Dresde bombardée (deuxième guerre mondiale)


Fuhrmannl

 

 

Joseph Naar, appelé « Furhmannl » est né en 1691 et il est mort en 1763. Il vivait à Robschitz, à environ 14 km de Pilsen dans la région de Bohême.

 

L’année de sa mort, il se mit à parler souvent de la dernière guerre. 

 

L’écrivain Andress Franz raconte : « à Dobrzan, vécu il y a plus de 150 ans, dans la maison n ° 15, un paysan nommé Joseph Naar, vulgairement appelé Fuhrmannl. Bien qu’il n'était pas riche, il avait un sens aigu de l'observation et une vue clairvoyante. [...] Avec beaucoup d'intérêt, nous avons écouté ses histoires. Enfin, Fuhrmannl est même allé jusqu'à prophétiser. »

 

Ses prophéties portaient sur des questions locales et nationales, comme la fermeture du monastère de Chotieschauer, la perte des biens du clergé, la conquête des français et leur expulsion, les batailles des peuples, les révolutions et les années de guerre.

 

Il a prophétisé aussi l’abolition de l’esclavage, les machines, les chemins de fer, les centrales électriques, le conflit de nationalité de la ville de Dobrzan entre l’Autriche et la Prusse...

 

Il parlait aussi beaucoup des Israélites dont il prédisait une lutte contre les Turcs suivie d’une défaite totale, d’une guerre entre tous les peuples et une paix mondiale.

Il parlait très souvent des grandes guerres mondiales.

 

Furhmannl mourut à l'âge de 73 ans le 6 Décembre 1763 et a été enterré à Littiz.

 

 

 

Prophéties

 

Les prophéties de Fuhrmannl ont été publiées pour la première fois en 1913.

 

Les premiers signes de la grande guerre :

 

« Si l’agriculteur, à la place du Rosaire, a un papier imprimé dans sa poche et la lira assis sur sa charrue, alors la Bohême sera balayée d’un coup de balai. »

 

« Si les barrières barrent les chemins de la forêt et qu’ils deviennent verrouillés par des châteaux de bois. »

(il existe aujourd’hui dans toute la forêt bohême de nombreuses tours de guets en bois)

 

« La foi chrétienne sera si petite qu’elle pourra se cacher sous un poirier.

Mais elle sera de nouveau victorieuse.

 

Les prêtres seront les premiers à affaiblir la foi.

Ils seront pointé du doigt par les autres, si bien qu’ils se cacheront.

 

Là où aujourd’hui il y a sept prêtres, on n’en verra plus qu’un. »

 

« Des routes de fer seront construites à travers la forêt de bohême et tout autour, et les gens iront sur un char fumant (train).

La dernière route volante sera construite sur la montagne Kubani (1362 m de haut). »

 

« L'agriculteur s'habillera comme un citoyen et le citoyen comme un noble aristocrate. 

 

Les femmes voudront s’habiller différemment chaque jour, parfois court, parfois long, elles sortiront même dans des vêtements d'homme et elles auront 
tant de couleurs de cheveux différentes que vous en seriez surpris. 

 

Les femmes auront les cheveux coupés courts, et plus tard elles les auront frisés de façon étrange, toujours différemment chaque année.

 

Ce qu’elles portent aujourd’hui, elles le jetteront demain, et changeront tous les jours.

 

Elles montreront leurs corps dans la nudité pour plaire aux hommes.

Le pire moment sera où les femmes porteront des chaussures dans lesquelles vous verrez à travers.

 

Il y aura tellement de taxes différentes que les autorités de sauront plus quel nom leur donner.

 

Il ne survivra que quelques personnes à la grande guerre.

 

Les alentours de Pilsen joueront un rôle majeur.

 

Celui qui sera toujours là à moins deux kilomètres de cet endroit, rampera sur les mains et les pieds, parce que tout sera loin, et le pays largement détruit. »

 

« Les renards et les lièvres iront dans les maisons et hors des fenêtres, les orties pousseront partout.

 

La ville de Prague sera détruite.

 

Toute la terre de Bohême sera déserte.

 

Les gens viendront de loin pour voir ça. »

 

 

Sources

« Kulturgeschichtliche Skizzen sowie Denkmäler und Sagen aus dem Bezirke Mies », Andress Franz, (croquis de monuments et légendes historico-culturelles de Mies) Dobrzan, 1913. 

 

« Am Vorabend der Finsternis » (De la veille à l'obscurité), Wolfgang Johannes Bekh, Oberpfaffenhofen 1988.

 



 

 

 

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