Edith Stein n’a pas eut de révélations prophétiques, mais sa vie et ses écrits ont une valeur pour tous ceux qui sont en quête de vérité divine.


Edith Stein

 

Edith Stein est née le 12 octobre 1891 dans l’Empire Allemand et elle a été exécutée le 9 août 1942 au camp d’Auschwitz, en Pologne.

 

Elle était née dans une famille juive, ses parents Siegfried et Augusta Stein auront onze enfants, dont quatre mourront en camp de concentration.

 

Son père avait fondé son entreprise et sombré dans les difficultés financières. C’est l’aide familiale qui les faisait survivre.

Edith naquit le jour de Kippour, ce qui la rendit particulièrement chère à sa mère.

 

Son père mourut alors qu’Edith n’avait que trois ans. Sa mère reprit alors l’entreprise familiale.

 

En 1896, elle commença sa scolarité, c’est la première fois en Prusse que les filles étaient autorisées à passer le baccalauréat.

 

Elle excellait partout. A 13 ans, elle commença à jeûner pour kippour, jusqu’au soir, selon la tradition juive et continuera même durant sa phase d’athéisme.

 

A 15 ans, elle arrêta ses études pour rejoindre sa sœur qui avait eut un enfant. A cette période, elle cessa de prier.

 

En 1907, elle rentra chez elle et reprit ses études. Elle lisait beaucoup « ces lectures littéraires de l’époque me nourrirent pour ma vie entière ».

 

Elle s’engagea avec sa sœur Erna, dans « l’association prussienne pour le vote de femmes ».

 

Après son baccalauréat, elle étudia la philosophie grâce au legs de sa grand-mère Johanna. Elle s’inscrivit aussi en langues indo européennes, allemand ancien, histoire du drame allemand, histoire de la Prusse, introduction à la psychologie, initiation au grec ancien…

 

C’était en étudiant la psychologie qu’elle se déclara athée.

 

Elle participa à deux associations.

Une d’éducation populaire où elle donnait des cours de soutien scolaire à des ouvriers et des employés et des cours d’orthographes. L’autre visant l’égalité des sexes et organisant des petits débats.

 

Elle partit à Göttingen suivre les cours du philosophe Leonard Nelson. Elle rentra dans la Société de Philosophie de Göttingen où elle rencontra de grands noms.

 

Elle prépara sa thèse sur l’empathie et l’examen était prévu pour novembre 1914. La guerre éclata et elle rentra chez elle pour aider de son mieux.

 

Elle suivit des cours d’infirmière, « Quand la guerre sera finie, si je vis encore, je pourrai à nouveau penser à mes occupations personnelles ».

Elle l’obtint son diplôme en janvier avec mention « très bien ».

 

Elle postula à la Croix Rouge et partit dans un hôpital militaire en Autriche.

Elle soigna les maladies infectieuses, travailla en bloc opératoire et vit mourir beaucoup d’hommes. Cette expérience la marqua profondément. Elle reçu une médaille de bravoure pour son dévouement. Epuisée, elle est invitée à rentrer chez elle.

 

Elle poursuivit sa thèse en étant professeur remplaçante. En 1917, elle fut la première femme à obtenir sa thèse intitulée « Sur le problème de l’empathie »

 

Elle devint la collaboratrice du philosophe allemand Edmund Husserl, le fondateur de la phénoménologie.

Elle apprit la sténographie pour pouvoir lire ses notes et synthétisa le tome 2 et 3 des « Idées directrices pour une phénoménologie et une philosophie phénoménologique pures ».

 

Dans le cercle des phénoménologues, les conversions au christianisme se multiplient.

 

Sa propre recherche philosophique porte sur la personne humaine, les relations interpersonnelles, les communautés d’appartenance, le sens des valeurs, la liberté et le refus du totalitarisme.

Elle synthétisa ses notes avec la pensée d’Hussel, et remania cet ouvrage tout au long de sa vie. Il fut publié en 1991 sous le titre « Introduction à la philosophie ».

 

En 1919, elle s’engagea dans le Parti Démocrate Allemand, qui abritait des féministes et des personnalités juives.

 

Elle devint de plus en plus critique au militarisme Prusse et l’antisémitisme ambiant. Progressivement, elle fut déçue de la réalité politique « Jeune étudiante, je fus une féministe radicale. Puis cette question perdit tout intérêt pour moi. Maintenant je suis à la recherche de solutions purement objectives ».

 

« Deux choses seulement me maintiennent la curiosité en éveil : la curiosité de voir ce qui va sortir de l'Europe, et l'espoir d'apporter ma contribution en philosophie ».

 

Edith Stein fut la première femme à devenir docteur en philosophie en Allemagne et la première à avoir demandé officiellement que les femmes soient admises à présenter une habilitation au professorat.

 

Au cours des années 1918 à 1919, elle publia « L'Individu et la communauté », sous le titre « Contributions à un fondement philosophique de la psychologie et des sciences humaines », se détachant de la pensée d'Husserl, et évoquant la religion.

 

Face aux discriminations sur son habilitation, elle écrivit au Ministre de la Culture allemand, qui lui donna raison, affirmant la possibilité pour une femme d'être professeur d'université.

 

Cependant, malgré toutes ses démarches elle fut refusée à Kiel, Hambourg, et Göttingen. Face à cette opposition elle fonda une académie privée, et accueillait trente auditeurs chez elle, dont le futur sociologue Norbert Elias.

 

Elle poursuivit sa réflexion en publiant « Étude sur l'État », où elle décrivit les différentes notions d'individu, de communauté, de masse et d'État. Elle s'opposa à l'idéologie du national socialisme allemand, ainsi qu'aux idéologies marxistes.

 

Une longue évolution intellectuelle et spirituelle la conduisit au catholicisme auquel elle se convertit en août 1921. Sa vocation spirituelle qui s'étendit des années 1916 à 1921.

 

La première étape de sa conversion a été une expérience marquante lors de la visite d'une cathédrale à Francfort sur le Main où elle rencontra une femme venant du marché qui entra, fit une courte prière, comme une visite, puis s'en alla.

 

Stein explique : « C’était pour moi quelque chose de tout à fait nouveau. Dans les synagogues et les temples que je connaissais, quand on s’y rendait c’était pour l’office. Ici, au beau milieu des affaires du quotidien, quelqu’un pénétrait dans une église comme pour un échange confidentiel. Cela, je n’ai jamais pu l’oublier »

 

Elle fut aussi profondément marquée par la mort de son ami Reinach, mais c'était l'attitude de sa femme, qui fut l'élément le plus marquant.

 

Pauline Reinach croyait dans la vie éternelle, et trouvait une consolation et un courage renforcé dans sa foi en Jésus.

À travers cette expérience, elle découvrit l'existence d'un amour surnaturel.

Elle affirma plus tard que « la cause décisive de sa conversion au christianisme fut la manière dont son amie accomplit par la force du mystère de la Croix le sacrifice qui lui était imposé par la mort de son mari ».

 

Lors d'une visite à ses amis Conrad et Martius, Edith Stein lut un livre que lui avaient offert les Reinach « la Vie de Sainte Thérèse de Jésus ».

Cet épisode fut l’aboutissement de sa longue quête de la vérité.

« On peut avoir conscience de la vérité, sans l'accepter, en refusant de se placer sur son terrain » dira-t-elle.

 

Dès ce moment elle voulut être carmélite. Annoncer sa conversion à sa mère fut très difficile. Elle affirma en effet « Quant à ma mère, ma conversion est la plus lourde peine que je puisse lui porter ».

 

Elle demanda le baptême au sein de l'Église catholique le 1er janvier 1922 et elle prit les noms de baptême : Edith, Theresia (même nom que Sainte Thérèse d'Avila).

Elle fit sa première communion le lendemain et fut confirmée le 2 février par l'évêque de Spire.

 

De 1922 à 1933, elle enseigna l’allemand et l’histoire au lycée et l’école normale féminine du couvent des dominicaines de la Madeleine de Spire. C’était un grand centre de formation d’enseignants catholiques et laïques.

 

Edith Stein se plongea ainsi dans la pédagogie tout en essayant de vivre ses journées comme les religieuses, priant régulièrement et cherchant à être religieuse selon le cœur.

 

Elle traduisit pour la première fois les écrits de Saint Thomas d’Aquin du latin en langue allemande. Pendant huit ans, elle travaillera sur son livre « Les Questions de Saint Thomas d'Aquin sur la VéritéLa Phénoménologie de Husserl et la philosophie de Saint Thomas d'AquinEssai d'étude comparéePuissance et acte, et Être fini et être éternel » où elle confronte philosophie traditionnelle catholique et philosophie moderne.

 

Elle écrira plus tard à propos de ces études« Il m'est apparu à la lecture de Saint Thomas qu'il m’était possible de mettre la connaissance au service de Dieu et c'est alors, mais alors seulement, que j'ai pu me résoudre à reprendre sérieusement mes travaux. Il m'a semblé en effet que plus une personne est attirée par Dieu, plus elle doit sortir d'elle-même pour aller vers le monde en y portant l'amour divin ».

 

Dès 1926, on la sollicita pour faire plus de trente conférences à travers l'Allemagne et d’autres pays. L'archiabbé Raphaël Walzerde l'abbaye de Beuron, son père spirituel à partir de 1928, et le P. Erich Przywara l’encouragèrent à répondre positivement à ces invitations.

 

Nombre de ses enseignements portaient sur la place de la femme dans la société et dans l'Église, sur la formation des jeunes et sur l'anthropologie.

 

Elle prit résolument position contre le nazisme et rappella la dignité de tout être humain.

 

Édith Stein obtint une notoriété importante au cours d'une conférence en 1930 sur : « L'éthique des métiers féminins ».

 

Seule femme à prendre la parole au cours du Congrès, elle parla des métiers féminins et refusait la misogynie de l'époque en affirmant qu'« aucune femme n'est seulement femme, chacune présente des traits individuels et des dispositions propres, tout comme l'homme, par l'aptitude à exercer telle ou telle profession dans un domaine artistique, scientifique ou technique »

 

Edith Stein prit progressivement son autonomie vis-à-vis d'Husserl. Ainsi, elle se trouva en désaccord avec lui sur le rôle de la théologie et de la philosophie.

 

Elle critiqua aussi le fait que la philosophie d’Husserl omettait des siècles de recherche chrétienne de la vérité en ne considérant que les philosophes récents.

 

Cette critique se poursuivait avec l'analyse de l'œuvre de Martin Heidegger. Elle contesta sa méconnaissance de la philosophie médiévale dans son analyse.

 

Elle lui reprocha de « reculer devant l'infini sans quoi rien de fini ni le fini comme tel n'est saisissable ».

 

 

Elle tenta de nouveau d’avoir une habilitation pour enseigner mais le régime national socialiste lui refusa. Très vite après la prise du pouvoir par les nazis, les lois allemandes interdisent aux femmes l'enseignement dans les universités ainsi qu'aux Juifs.

Elle décida alors d'écrire au Pape Pie XI pour demander une prise de position claire de l'Église contre ce qu'elle nomme « l’idolâtrie de la race ».

 

Alors qu'elle ne pouvait plus s’exprimer publiquement du fait des lois antisémites, elle arrêta les conférences et entra au Carmel en la fête de Sainte Thérèse d’Avila le 15 Octobre 1933 à Cologne.

 

Elle écrivit à un ami « Je suis entrée au couvent des carmélites déchaussées samedi dernier, et je suis ainsi devenue fille de Sainte Thérèse qui avait précédemment inspiré ma conversion ».

 

A 41 ans, elle devint religieuse sous le nom de Sœur « Thérèse-Bénédicte de la Croix ».

 

Elle observa vers la fin de sa vie le chemin parcouru concernant les droits obtenus par les femmes et le changement de mentalités et rédigea un nouvel ouvrage « Formation de femme et profession de femme » où elle expliquait que « les jeunes filles passent aujourd'hui le baccalauréat et s'inscrivent à l'université en ignorant le plus souvent ce qu'il a fallu de réunions, résolutions, pétitions (…) pour que s'ouvrent aux femmes, en 1901 les portes de l'université allemande. »

 

Ses supérieures l’encourageaient à continuer son ouvrage « Puissance et actes », qu’elle renomma bientôt « L’être fini et l’être éternel » qui est son œuvre majeure.

Elle y établit le chemin de la recherche de Dieu qui passe par une connaissance de soi.

 

Elle renouvella ses vœux « Quand mon tour est arrivé, de renouveler mes vœux, j'ai senti que ma mère était près de moi, j'ai expérimenté clairement qu'elle était proche de moi ». Elle apprit quelques jours plus tard que sa mère mourait au même moment.

 

Le 21 avril 1938, elle prononça ses vœux définitifs et partit au Carmel d’Echt en Hollande. Elle fuyait le danger nazi.

Sa sœur Rosa, récemment convertie l’y rejoins.

 

Elle était inscrite auprès des services d’immigrations néerlandais comme juive. Elle avait peur pour le sort de ses amis et de sa famille.

 

Elle demanda à sa supérieure de « s’offrir en sacrifice au Sacré Cœur de Jésus pour la paix véritable » et le salut des Juifs. Elle rédigea son testament dans lequel elle « implore de Seigneur de prendre sa vie ».

 

Elle écrivit un court essai sur la théologie symbolique sur Jean de la Croix Scientia Crucis (La Science de la Croix). L’œuvre fut achevée au moment de l’arrestation d’Édith Stein.

 

Cependant Édith Stein chercha à quitter la Hollande afin de partir vers un Carmel en Suisse et vivre sa foi sans la menace des nazis.

 

Ses démarches restèrent sans succès car elle était privée du droit d'émigrer.

Elle écrivit en juin 1942 :« Depuis des mois, je porte sur mon cœur un petit papier avec la parole du Christ "Lorsqu'ils vous persécuteront dans une ville, fuyez dans une autre" ».

 

Face à l’antisémitisme en Hollande, les évêques décidèrent ouvertement de condamner les actes antisémites. Suite à cela, un nouveau décret conduisit à l’arrestation de Juifs de religion catholique ».

 

Edith Stein fut arrêtée le 2 août 1942 par les S.S.avec sa sœur Rosa et tous les Juifs ayant reçu le baptême catholique.

 

Ses dernières paroles furent, d'après un témoin, pour sa sœur « Viens, nous partons pour notre peuple ».

 

Elle affirma « accepter déjà maintenant avec joie la mort que Dieu a prévue pour moi dans une parfaite soumission à Sa très Sainte Volonté. Je demande au Seigneur d'accepter ma vie et ma mort pour son honneur et Sa gloire ».

 

Elle fut déportée avec sa sœur dans les camps d'Amerfort, puis celui de Westerbork.

Elle y retrouva deux de ses amies et « filles » spirituelles, deux jeunes filles juives devenues catholiques : Ruth Kantorowicz et Alice Reis.

 

Au camp de Westerbork, elle croisa une autre grande mystique juive du xxe siècle, Etty Hillesum, qui venait d’être embauchée par le Conseil juif du camp pour aider à l’enregistrement.

Cette dernière consigna dans son Journal la présence d’une carmélite avec une étoile jaune et de tout un groupe de religieux et religieuses se réunissant pour la prière dans le sinistre décor des baraques.

 

À l’aube du 7 août, elle partit dans un convoi de 987 Juifs part en direction d’Auschwitz.

Toutes les personnes du convoi furent gazées au camp d'extermination d’Auschwitz Birkenauen en Pologne, le 9 août 1942.

 

 

Édith Stein est béatifiée par Jean Paul II, le 1ermai 1987, à Cologne, pour l’héroïsme de sa vie et sa mort en martyre, assassinée « ex odio fidei » (en haine de sa foi catholique).

 

Avec sa béatification dans la cathédrale de Cologne l’Église honore, comme le dit le pape Jean-Paul II, « une fille d’Israël, qui pendant les persécutions des nazis est demeurée unie avec foi et amour au Seigneur Crucifié, Jésus Christ, telle une catholique, et à son peuple telle une Juive ».

 

Cette homélie de Jean-Paul II montre l'importance reconnue du peuple juif et de la tradition hébraïque dans la vie d'Edith Stein.

Elle est par la suite canonisée par le pape Jean Paul II le 11 octobre 1998 et proclamée Co-patronne de l’ Europe le 1er octobre 1999.

 

Edith Stein n’a pas écrit de prophéties, mais de nombreux ouvrages philosophiques sur Dieu.

 

 

Extraits de son oeuvre

 

 

 

Edith parle des Mystiques et Saints prophètes :

 

« Je crois que l’on peut, que l’on doit parler d’expérience religieuse ; mais ce faisant, il ne s’agit pas d’une ‘’intuition immédiate’’ de Dieu. (…)

 

Là où l’expérience personnelle fait défaut, il faut s’en tenir aux témoignages d’homines religiosi. Ceux-ci au moins, ne manquent pas.

Les plus impressionnants sont à mon sens les mystiques espagnols Thérèse et Jean de la Croix ».

 

Elle écrit sur l’âme :

« le corps est entièrement pénétré par l’âme, de sorte que non seulement la matière organisée devient un corps pénétré par l’esprit, mais également l’esprit est un corps incarné ».

 

 

Sur le péché :

« l’entendement est obscurci (…) la volonté affaiblie, le cœur incliné au mal », de sorte que « nous subissons en nous même le combat entre la nature corrompue et la semence de la vie de la grâce ».

Dans ces conditions seules « la puissance de la grâce est en mesure de transformer la nature déchue (…) pour la refaçonner du dedans ».

Par conséquent, la fécondité du travail éducatif résulte de l’union des efforts de l’homme et de l’action de la grâce divine.

 

Sur la foi

« La foi est un don qui demande à être accepté. La liberté de Dieu et la liberté de l’homme s’y rencontrent ».

 

 

Lettre d’Edith Stein du 23 mars 1938 à Sœur Adelgundis Jaegerschmid)

 

« Dieu est la vérité.
Qui cherche la vérité, cherche Dieu,
qu'il en soit conscient ou non. »

 

 

Sources

 

« Vie d'une famille juive », introductions et annotation du frère Didier-Marie Golay, Ad Solem, Editions du Cerf, Editions du Carmel, 2008,

« Correspondance 1933-1944, II » Cécile Rastoin, Ad Solem, Editions du Cerf, Editions du Carmel, 2012

« La femme cours et conférences », Ad Solem, Cerf, Edition du Carmel, 2009

« Voies de la connaissance de Dieu. La théologie symbolique de Denys l’Aréopagite », Ad Solem, 2003

« Source cachée », édition du Cerf, Ad Solem, 1999

« Phénoménologie et philosophie chrétienne », éd. du Cerf, 1987

« L’Être fini et l’Être éternel, essai d’une atteinte du sens de l’être », Nauwelaerts, 1972

« La Science de la Croix, Passion d’amour de saint Jean de la Croix » Nauwelaerts, 1957

« La Femme et sa destinée », éditions Amiot – Dumont, 1956 (recueil de six conférences données par Édith Stein sur le thème de la Femme)

« Mort et vie d’Édith Stein », Yann Moix, éditions Grasset et Fasquelle 2008,

« L'art d'éduquer selon Édith Stein. Anthropologie, éducation et vie spirituelle », E. de Rus Cerf-Ad-Solem-Carmel, 2008

« Intériorité de la personne et éducation chez Édith Stein », E. de Rus, Cerf, 2006

« De la solidarité. » Essai sur la philosophie politique d’Édith Stein, V. Aucante, Parole et Silence 2006

C. Rastoin et D.-M. Golay,Avec Édith Stein découvrir le Carmel français, éd. du Carmel, 2005

« Le Discernement selon Édith Stein. Que faire de sa vie ? », V. Aucante, Parole et Silence, 2003

« Édith Stein philosophe crucifiée », Joachim Bouflet Presses de la Renaissance, 1998

 

« Thérèse carmélite », Dominique Poirot, Éd. du Cerf, 2004

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