Alexandrina de Balazar

 

 

Alexandrina Maria da Costa (Alexandrina de Balazar) est née en 1904 à Balasar et elle est morte dans la même ville en 1955.

 

Elle vit le jour dans un milieu de paysans honnêtes et travailleurs et fut baptisée le Samedi Saint suivant sa naissance, 2 avril 1904. Elle a vécu pendant les deux premières guerres mondiales.

La Mère d'Alexandrina eut, du même homme, deux filles illégitimes, Deolinda et Alexandrina. Aussitôt après la naissance de Deolinda, l'individu qui avait promit de l'épouser s'en alla au Brésil.

Après son retour au Portugal, il revit la mère de Deolinda, et Alexandrina vint au monde. Puis cet homme l'abandonna de nouveau pour épouser une autre femme.

Les témoins locaux rapportent qu'à partir de ce moment, la mère eut un comportement irréprochable.

Alexandrina passa les cinq premières années de sa vie chez ses grands-parents maternels. Vers l'âge de 9 ans, Alexandrina dut commencer à travailler, d'abord dans les champs, puis comme journalière, femme de ménage et couturière, chez des voisins.

Toute jeune, et même pendant le travail, elle priait beaucoup. Bientôt elle fut nommée catéchiste et membre de la chorale.

Un jour, Alexandrina tomba d'un chêne. Puis elle devint gravement malade et dut cesser de travailler régulièrement. A 12 ans les derniers sacrements lui furent administrés. Sa santé continua à se dégrader et elle dut abandonner les travaux dans les champs, par manque de forces.

Elle commença dès lors à se plaindre aussi de douleurs à la colonne vertébrale ; ce mal s'aggrava par la suite. Le médecin dit qu’elle souffrait de myélite et qu’elle deviendrait paralysée.

Le Samedi Saint 1918, Alexandrina sauta par une fenêtre d'une hauteur d’environ quatre mètres, plutôt que de se laisser violer par trois hommes qui étaient entrés dans la pièce où, avec sa sœur, une amie et elle faisait de la couture. Elle a 14 ans.

Il en résulta une compression de l'épine dorsale, cause de l'accélération de sa paralysie qui la retiendra au lit pendant 30 ans.

Pendant cinq mois consécutifs, Alexandrina ne put se lever, mais en avril 1923, elle recommença à marcher un peu en s'aidant d'une chaise. La mort de sa grand-mère fut pour elle un grand chagrin.

Le 14 avril 1925, elle s'alita définitivement. Deolinda, sa sœur devint son infirmière et sa secrétaire.

Deolina (sa sœur), Marie Anne (sa mère)

et Alexandrina alitée.

"Mon bon Jésus, vous êtes emprisonné. Moi aussi, je le suis. Nous sommes tous deux incarcérés. Vous, pour mon bien et moi, enchaînée par vous. Vous êtes Roi et Seigneur de tout. Moi, je ne suis qu’un ver de terre. Je vous ai négligé, ne pensant qu’aux choses du monde qui ne sont que perdition pour les âmes, mais, maintenant, le cœur contrit, je ne veux que ce que vous voudrez, je veux souffrir avec résignation. Ne me laissez pas sans votre protection."

 

“Pendant que je faisais cette offrande à Jésus, je me sentais ravie, d’une façon que je ne sais pas expliquer, et en même temps je ressentais une forte chaleur qui semblait m’embraser. Cela me parut étrange, car les journées étaient plutôt froides et, émerveillée, j’ai même regardé si mon corps ne transpirait pas. C’est comme si l’on m’embrassait intérieurement. Cela me fatiguait assez.”

 

Jésus lui parle : "Combien de victimes j'ai choisies ... Combien de victimes J'ai choisies et qui se sont refusées ! ... Combien J'en ai appelées et qui ne m'ont pas entendu ! ... Combien J'en ai invitées à une grande élévation vers moi et Je n'ai rien obtenu ! Combien d’âmes reculent ! Beaucoup, dès le début, beaucoup d’autres à moitié chemin. Elles veulent tout recevoir de moi, mais rien me donner ! Elles veulent réparer, mais sans immolation ni sacrifice’’.

 

"Une certaine fois j'ai vu Jésus tel un jardinier qui soigne ses fleurs, les arrosant. Il se promenait au milieu de celles-ci, m'en montrait les variétés. D'autres fois il m'apparaissait pour me montrer les rayons éblouissants de son Cœur."

 

Un autre jour, Jésus lui demanda: " Donne-moi ton cœur, que Je le place dans le mien, afin que tu n’aies pas d’autre amour que le mien et celui de mes affaires."

(Lettre du 5 octobre 1934 au Père Mariano).

 

Octobre 1954 "Comme Je l'ai demandé à Marguerite-Marie Alacoque, Je veux que toi, à ton tour, tu fasses se développer dans le monde cet amour éteint dans le cœur des hommes... Fais, ô mon épouse, fais que se propage dans le monde entier cet amour de nos Cœurs.”

Alexandrina lors d'une extase

 

Le démon

“Ce fut en juillet 1937 que le “boiteux” ou "le manchot" (noms qu'elle utilisait pour désigner le démon), non content de tourmenter ma conscience et de me souffler des choses affreusement ordurières, commença à me mettre en bas du lit, aussi bien la nuit qu'à n'importe quelle heure de la journée...

Pendant ces assauts je ressentais en moi la rage et la fureur infernales. Je ne consentais pas que l’on me parle de Jésus et de Marie, ni même de voir leurs images : je leur crachais dessus et les piétinais. Je ne pouvais pas non plus sentir la présence de mon Directeur spirituel : je l’insultais et voulais même le frapper, ainsi que quelques personnes de la maison.

Mon corps devenait violet et sanguinolent à cause des morsures.

Je disais pareillement des gros mots envers les personnes présentes. Oh ! Combien j’aimerais que beaucoup aient pu le voir, afin qu’ils craignent l’enfer et arrêtent d’offenser Jésus ! "

 

‘’Le démon me suggérait de me suicider ; il me disait que pour ce faire, il me fournirait un moyen indolore et facile ; que je souffrais inutilement, sans espoir de recevoir la moindre récompense ; que le Seigneur ne m'aimait pas tout à fait ; que vous (le directeur spirituel) ne croyiez rien de ce que je vous écrivais ; que les choses que je ressentais en moi quand le Seigneur me parlait n'étaient rien d'autre qu'un reflet du temps et de ma maladie.’’


Alexandrina dans son lit de douleur

 

Comme Alexandra se plaignait, Jésus lui dit un jour:

"Le démon te hait, mais tu dois t’en réjouir, car tu connais la raison. Si Je le permettais, il te tuerait: mais Je n’y consens pas. Je suis le Seigneur de la vie et de la mort. Ta mort, en tout cas, ne sera qu’un envol de la terre vers le ciel".

 

« Ceux dont on estime qu’ils ont vécu une vie exceptionnellement pieuse, ceux là sont délivrés, arrachés à ces lieux souterrains comme à une prison, ils arrivent là-haut, dans un séjour pur (…). Parmi eux, ceux qui ont réussi à se purifier autant qu’il faut grâce à la philosophie (amour de la sagesse) vivent, pour tout le temps à venir, absolument sans corps ; ils atteignent des demeures plus belles encore, qu’il n’est pas très facile à décrire. »

(Socrate, "Le Phédon")

 

La passion

Le 3 octobre 1938, Alexandrina vécut la Passion pour la première fois, dès midi et jusqu'à 15 heures. Ce jour-là, jour de sa fête liturgique, sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus apparut à Alexandrina, à deux reprises, au cours de cette première “Passion”.

 

Le père Pinho écrit : "Nous les présents, nous voyions se dérouler devant nos yeux et très concrètement, le drame de la Passion, au Jardin des Oliviers, l'emprisonnement, les tribunaux, la flagellation, le couronnement d'épines, le chemin du Calvaire, la crucifixion et la mort."

 

Désormais, Alexandrina revivra la Passion de Jésus tous les vendredis. Le 24 octobre 1938, le Père Pinho, après avoir assisté à la Passion d'Alexandrina, écrivit au Cardinal Pacelli (futur Pie XII) au sujet de la Consécration du monde à la Vierge Marie.

 

Le 29 Janvier 1941, le docteur Manuel Augusto Dias de Azevedo vînt pour la première fois auprès d'Alexandrina. Il comprit qu'il s'agissait d'une manifestation surnaturelle et il décida d'étudier ce cas à fond. Il devint son médecin. En août 1941, une indiscrétion grave commise par le Père José Alves Terças, fut la cause de grandes souffrances pour Alexandrina.

 

Jésus lui dit alors: "L'heure de me donner la plus grande preuve d'amour et d'héroïsme est arrivée: marche sans lumière, en complet abandon. Tout sera mort en toi..."

 

 

Alexandrina lors d'une extase

 

Le 2 février 1945, Alexandrina vécut un vendredi encore plus douloureux que les autres. Voici quelques extraits de ce qu'elle a raconté dans son autobiographie :

 

“Le vendredi est arrivé ; triste vendredi ! ... Dans mon âme je ressentais une mansuétude, une bonté inégalable. En même temps, contre cette mansuétude et cette bonté, je ressentais la haine, la rancœur, le mépris et une autorité orgueilleuse : un orgueil cynique. Des bêtes féroces contre l’Agneau... Avant même que la sentence ne soit prononcée contre l’Agneau innocent, j’ai senti que cette autorité là, avec une fureur diabolique, se déchirait les habits de haut en bas...

 

J’ai monté avec peine la montagne du Calvaire... Mon sang coulait. Mon âme tremblait de douleur et de peur, comme le corps tremble à cause du froid."


 

Alexandrina continue son récit: "À haute voix toujours j’appelais Jésus. Il est venu apportant un soleil radieux et ardent. Les tremblements de mon âme ont cessé, ainsi que la peur et toutes les douleurs: j’avais retrouvé la paix, je n’avais plus que lumière et amour. Le cœur a commencé à revivre une vie que je ne sais pas expliquer. La poitrine est devenue un vrai incendie. Quel bonheur j’ai pu vivre pendant longtemps ! ... J’ai entendu des hymnes merveilleuses; je ne comprenais pas très bien, mais je sais qu’elles étaient adressées à Jésus au très Saint-Sacrement."

 

En effet, la Passion terminée, Alexandrina entendit les anges chanter et constata que "de ce chœur d’anges sortait un canal qui arrivait jusqu’à elle, lui communiquant des flammes de feu et bien d’autres choses."

 

Jésus lui dit alors: "Ce canal, ma fille, descend du Cœur de ta Mère et ma Mère bénie. De celui-ci tu reçois la très grande abondance de notre amour ; tu reçois nos grâces, vertus et dons : richesse divine et tout ce qui est du ciel. De son Cœur tu reçois la vie pour vivre, la vie pour la donner aux âmes. C’est cette rosée, le sang que tu sens tomber sur l’humanité ; c’est une fusion de mes richesses, de mes grâces et de ta souffrance. Tu es une nouvelle Corédemptrice."

 

"Ils ne croient pas à mon existence. Ils ne croient pas que J’y habite. Ils blasphèment contre moi. D’autres croient que J’y suis, mais ils ne m’aiment pas, ne me visitent pas : ils vivent comme si Je n’y habitais pas... Viens dans mes tabernacles ; elles sont à toi mes prisons ; Je t’ai choisie pour m’y tenir compagnie, dans ces abris qui sont très souvent, extérieurement, si pauvres ! Mais à l’intérieur, ô, quelle richesse ! C’est la richesse du Ciel et de la terre !...

 

Veux-tu me consoler ? Veux-tu consoler le sanctificateur de ton âme ? Va dans les tabernacles ! ... Consoler les attristés, c’est faire œuvre de miséricorde... Et moi Je suis si triste ; Je suis si offensé !... Là tu peux servir de victime pour les péchés du monde, en cette période où le monde se révolte contre moi et contre mon Église."

 

 

A partir du 13 avril 1942 le jeûne total va commencer, son inédie durera jusqu'à sa mort.

 

Du 10 juin au 20 juillet 1943, Alexandrina sera internée à l'hôpital de FOZ do Douro, près de Porto pour y subir une série de contrôles concernant son jeûne et son anurie.

 

Durant quarante jours de surveillance constante, aucune simulation n'est constatée. Le 16 juin 1944, trois théologiens nommés par l'archevêque de Braga, pour une commission d'enquête, ne trouvèrent rien de miraculeux au cas d'Alexandrina, malgré la poursuite de son jeûne... Une étonnante persécution va commencer : il fallait "faire taire la malade."

 

 

Le Saint-Siège accrédite le témoignage du médecin qui affirme que, du 27 mars 1942 à sa mort, son seul aliment est la communion quotidienne.

 

Pendant 12 ans Alexandrina ne vécut que de l'Eucharistie.

 

Jésus lui dit un jour, en 1954: "Ma fille, Je t'ai placée dans le monde et Je fais en sorte que tu vives uniquement de Moi pour prouver au monde ce que peut l'Eucharistie, ce qu'est Ma vie dans les âmes : lumière et salut pour l’humanité."

 

"Je choisis les faibles pour les rendre forts. Sous leur faiblesse Je cache mon pouvoir, mon amour et ma gloire. Oublie le monde et offre-toi à moi. Abandonne-toi entre mes bras : Je choisirai tes sentiers. La mission que Je t’ai confiée, ce sont les tabernacles et les pécheurs... Par toi, beaucoup, beaucoup de pécheurs seront sauvés ; non par tes mérites, mais par les miens. Je cherche tous les moyens pour les sauver... (Lettre du 27 septembre au Père Mariano)

 

En 1936, elle demande au pape Pie XI la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie, vœu exaucé par le pape Pie XII le 30 octobre 1942.

Jésus lui dit :"En raison de l’amour que tu as envers ma très Sainte Mère, communique à ton directeur spirituel la demande suivante : que chaque année un acte de consécration du monde à ma Mère soit fait, un jour fixé et que l’on demande à la Vierge sans tache de confondre les impurs, afin que ceux-ci changent de vie et ne M’offensent plus davantage.

Comme J'ai demandé à Marguerite-Marie la consécration du monde à mon divin Cœur, ainsi Je te demande à toi, qu’il soit consacré à Marie au cours d'une fête solennelle."

 

Son histoire engendre alors une ferveur qui débouche sur un pèlerinage populaire, bien que l'archevêché de Braga ait interdit toute visite entre 1944 et 1952, époque où l'Église avait toute l'oreille du pouvoir totalitaire portugais.

 

Le 25 avril 2004, Alexandrina de Balasar a été déclarée Bienheureuse par le pape Jean Paul II.

 

Dans ces révélations, Jésus a présenté deux grandes et prodigieuses promesses à la bienheureuse Alexandrina de Balazar:

 

« Ma fille, mon épouse bien-aimée, fais que Je sois aimé, consolé et soulagé dans mon Eucharistie. Annonce ceci en mon nom : Tous ceux qui communieront respectueusement, avec sincérité et humilité, ferveur et amour les 6 premiers jeudis de cinq mois consécutifs et feront une heure d'adoration et d'intime union avec Moi, devant mon Tabernacle, Je leurs promets le Ciel.

C'est pour honorer par l'Eucharistie mes saintes Plaies, honorant en premier celle de mon épaule, si oubliée. Celui qui le fera, celui qui en se souvenant des Mes divines Plaies et adjoindra celles de Ma Mère bénie en leur nom nous demandera des grâces (…), Je le lui accorderai, à moins que les grâces demandées soient nuisibles à son âme. Au moment de la mort, Je prendrai Ma Très-Sainte Mère avec Moi, pour le défendre. »

 

Le tombeau de la bienheureuse Alexandrina Maria da Costa se trouve à gauche du maître-autel de l'église paroissiale de Balazar.

Pour évaluer son importance, il est indispensable de connaître la promesse que Jésus lui fit en juin de 1946 : « Je te promets, lui dit le Seigneur, qu'après ta mort toutes les âmes qui visiteront ton tombeau seront sauvées, sauf s'ils le visitent et continuent dans le péché, abusant de la grande grâce que par toi Je leur accorde. Afin que toutes celles qui visitent ton tombeau se sauvent, elles ont besoin d'autres grâces, qui ne sont pas nécessaires à ceux qui visiteront ton lit, celles-ci leur seront accordées par toi. »

 

"Toutes les âmes qui te visiteront, ce sont leurs noms inscrits par ton Ange dans Mon Cœur, et seront sauvés. Même celles qui te visiterons par curiosité et malice. Ta douleur sera une force invincible qui les sauvera toutes. Tout cela fait partie de la mission que Je t’ais confié. La mission la plus noble et sublime. "

(6 juillet 1946) 

 

 


Prophéties

 

 

«Quel feu dans mon cœur!... Combien je donnerais, combien j’aimerais souffrir pour obtenir que ce feu soit le mien et qu’il soit un feu d’amour pour Jésus. Je veux de l’amour, je veux de l’amour pour le donner au monde afin qu’il aime uniquement Jésus... Je vois le monde s’enfuir vers un autre monde, un monde de perdition.

Je reste les bras ouverts et les yeux levés vers le ciel. Comment remédier à ce mal ? De grandes, de très grandes inquiétudes montent de la terre vers le ciel. Mon Dieu, je vois les âmes pleines de lourdeur et les corps détruits par la lèpre: conséquences du péché. Quelle lumière, celle qui m’oblige à tout voir!... À quel extrême le monde est réduit!... Doux Jésus, votre divin Cœur n’en peut plus ! ..."

 

"Je me sens placée entre le monde et Jésus afin d’éviter que la méchanceté des hommes ne blesse son Cœur si aimant. Flagellation, épines et mauvais traitements me blessent. Je ne vois pas Jésus mais je le sens comme opprimé, rempli d’épouvante et qui attend les coups de cette chaîne de méchanceté...

Sans même avoir pensé à la Cène de Jésus avec ses disciples, je me suis sentie à table. Mon cœur était le calice, le vin et le pain. Tous venaient manger et boire à ce calice. À partir de cet instant cette Cène allait se répéter. Mais quelle horreur ce que j’ai vu !... Tant de Judas buvant et mangeant indignement! Que de langues sales ! Pire encore: combien de mains indignes distribuant ce pain et ce vin ; des mains indignes et des cœurs démoniaques.

Quelle horreur mortelle ! ... J’en ai éprouvé tant de douleur et tant d’horreur au point de croire que mon âme allait fondre et le cœur se briser. Je ne sais pas mieux exprimer ce que j’ai vu, ce que j’ai souffert. Et avant tout autre chose, l’amour de Jésus, un amour indicible ; un amour que l’on ne peut évaluer qu’après l’avoir expérimenté…"

(Autobiographie: 12 avril 1945)

 

 

« Ce seront les victimes de mes tabernacles qui arrêterons le bras de la Justice divine, pour que le monde ne soit pas détruit et que de plus grands châtiments n’adviennent » (1935)

 

« C’est lui le Pontife qui consacrera le monde au Cœur Immaculé de Marie, Ma Mère » (27 mars 1939, jour de l’élection du Pape Pie XII)

 

« La paix viendra, mais au prix de beaucoup de sang. Le Saint Père sera ménagé. Le dragon orgueilleux et enragé, qui est le monde, n’osera pas toucher à son corps, mais son âme sera victime de ce dragon. »

(6 décembre 1940, à propos de Pie XII)

 

« Parce que Je veux que tout de suite après votre mort votre vie soit connue, et elle le sera. Elle atteindra les confins du monde.


Je veux que tout soit connu, pour voir comment Je communique avec les âmes qui veulent m’aimer ».

(20 novembre 1937)

 

Sources :

« Une victime de l'Eucharistie » Père Mariano Pinho, Alex-Diffusion, 2009

« Alexandrina Maria da Costa : âme victime et apôtre», Père Umberto Maria Pasquale, , Alex-Diffusion, 2010

« Alexandrina de Balazar (1904-1955) », Paulette Leblanc, , Alex-Diffusion, 2009

« La spiritualité d'Alexandrina » Paulette Leblanc (Préface de l'Abbé François Seigneur), Alex-Diffusion, 2010


« Seulement par amour ! » Eugenia Signorile (Textes groupés et commentés), Alex-Diffusion, 2010

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